Lorsque les soldats et les gardes arrivent dans le Jardin des Oliviers pour l'arrêter, Jésus leur dit :
« Si c'est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. » (Jean chap. 18, verset 8b)
Jésus avait grand soin de ceux que son Père lui avait donnés. Sur les rives du lac de Tibériade, Jésus avait dit à la foule :
« Tous ceux que me donne le Père viendront jusqu'à moi ; et celui qui vient à moi, je ne vais pas le jeter dehors. Car je suis descendu du ciel pour faire non pas ma volonté, mais la volonté de Celui qui m'a envoyé. Or telle est la volonté de Celui qui m'a envoyé : que je ne perde aucun de ceux qu'il m'a donnés, mais que je les ressuscite au dernier jour. Telle est la volonté de mon Père : que celui qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et moi, je le ressusciterai au dernier jour. » (Chap. 6, verset 37-40)
Dans sa dernière grande prière, Jésus dit à son Père :
« J'ai manifesté ton nom aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner. Ils étaient à toi, tu me les a donnés, et ils ont gardé ta parole. » (Chap. 17, verset 6) « Quand j'étais avec eux, je les gardais unis dans ton nom, le nom que tu m'as donné. J'ai veillé sur eux, et aucun ne s'est perdu, sauf celui qui s'en va à sa perte de sorte que l'Écriture soit accomplie. » (verset 12)
Comme ces paroles de Jésus sont belles ! Quels sont ces chanceux sur lesquels Jésus veille avec tant d'amour, tant de bienveillance ? Ces chanceux sont ceux qui croient en Jésus, qui l'écoutent, qui gardent ses paroles et qui en vivent. Ces chanceux, c'est nous ; c'est chacun d'entre nous. Il y a bien de quoi être émerveillés et remplis d'amour pour Notre Seigneur Jésus.
Prière :
Seigneur Jésus, tu t'es soucié des tiens avant de mourir. Et tu es mort pour eux, pour nous, afin de nous donner la vie éternelle. Nous t'aimons, Seigneur, d'un grand amour.